Brigitte Alouqua le 14 02 2020 13:28

A l’heure où l’agriculture bio commence à prendre une grande place dans nos vies, j’avais envie de découvrir ce que cela pouvait donner comme rendu dans un manga. Je ne suis franchement pas déçue du tout, en même temps, les mangas que j’ai déjà pu lire qui sont publiés aux éditions Akata n’ont jamais réussis à me décevoir. L’écologie dans un roman, je connaissais, l’écologie dans une BD également, j’en ai lu une il n’y a pas si longtemps que cela. BD et manga se ressemblant un peu, je me suis dit que cela devrait donc être une réussite, tant graphique qu’au niveau du texte.

Savoir qu’ici, j’allais en plus découvrir une histoire non pas fictionnelle mais bien réelle, ne pouvait que me donner envie de me lancer. C’est une franche réussite !

Si à travers les dessins nous pouvons sans nous tromper comprendre les émotions de notre jeune agriculteur, en ce qui concerne le texte, eh bien c’est toute la partie motivation de celui-ci à mener ce combat, à vouloir cultiver sans pesticides, mais également ses espoirs et désespoirs, ses réussites et ses échecs.

Ce que j’ai principalement aimé avec ce manga, c’est que ce n’est pas simplement un manga parmi tant d’autres. Celui-ci se démarque justemement parce que d’une part il s’agit d’une histoire vraie, mais aussi parce que celui-ci nous montre que lorsque nous sommes motivé à quelque chose, le résultat finira par être positif, même si nous devons passer par plusieurs échecs auparavant. C’est un récit que j’ai trouvé touchant, mais également intelligent.

Je ne vous en dévoile pas plus, mais je vous conseille vivement de faire vous aussi cette belle découverte. De mon côté, je vais regarder de près à trouver d’autres mangas où l’écologie est abordée, je trouve que c’est intéréssant que ce genre de thème soit abordé dans les mangas. Certaines personnes n’aimant pas trop lire, pourraient très bien vouloir malgré tout découvrir ce manga, parce que c’est rapide à lire.

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Brigitte Alouqua le 17 01 2020 13:46

Bien que le contexte de permutations des corps ne soit pas réellement nouveau, j’ai franchement aimé cette trilogie. La mangaka nous offre pas mal d’émotions fortes, et le thème principalement abordé est le fait de ne pas entrer dans le moule, d’être victime de sa différence physique. L’une est belle, elle plaît et a des amis, quant à l’autre, elle est son total opposé, elle n’est pas spécialement belle, elle est enrobée, et elle n’a pas d’amis, justement à cause de ses traits physiques.

Par un phénomène étrange durant la lune rouge, elle vont se retrouver l’une dans le corps de l’autre. Comment expliqué à leurs familles, aux amis de l’une, qui elles sont réellement. Se réveiller dans le corps d’une autre, cela soulève pas mal de questions.

C’est une trilogie où les émotions jouent au grand huit, j’en suis venue à me poser pas mal de questions moi aussi.

Bien que certains événements soient prévisibles, tout comme certains comportements, je dois bien dire que cela fonctionne parfaitement. Je me suis laissée embarqué dans l’intrigue, j’ai d’ailleurs lu les trois tomes à la suite, impossible de laisser passer ne fut-ce qu’une journée entre eux, il fallait que je sache, que je comprenne, que je vois l’évolution de l’intrigue.

Il faut également que je vous avoue que c’est la couverture du second tome qui m’a attirée, ses jeux de couleurs ont titillés mon regard au hasard de mes vagabondages sur Amazon. Il ne m’en fallait pas plus pour que ma curiosité soit à son tour aux aguets. Franchement je la trouve juste trop belle ! Mais attention, il n’y a pas que la couverture, le résumé du premier tome a terminé de me convaincre, ensuite, eh bien le récit en lui-même m’a complètement embarquée, je me suis sentie comme prisonnière dans ma bulle qui ne m’a libérée qu’au moment où je tournais la dernière page du troisième opus.

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Brigitte Alouqua le 10 01 2020 15:13

Non mais sérieusement, regardez un peu ces trois couvertures ? Je suis complètement sous le charme. Ne sont-elles pas superbes ? J’adorerais les voir en super grand format sur un de mes murs, format minimum en A3 histoire de bien les voir. Honnêtement, tout est magnifique sur ces couvertures, que ce soit les tons employés, les dégradés, les nuances, même les reflets dans les yeux de la gazelle, on a l’impression que l’animal est là, juste devant nous, que si nous tendions la main de quelques centimètres, nous pourrions les toucher. Bon ok, je passe mon tour pour le lion, il ne donne me donne pas trop envie de l’approcher !

Mais, cette trilogie, c’est beaucoup plus que de superbes couvertures, c’est également une histoire, une histoire que je comparerais sans hésitations à celle de l’homme, de l’humanité en terme général. Parce que ici, l’aventure que nous allons découvrir est on ne peut plus représentative de la société humaine, sauf que nous sommes en compagnie d’animaux sauvages et non des humains.

A travers l’aventure que nous dévoile Yui Hata, je dirais aussi que cela se ressent avec une force grandissante à travers les dessins, c’est bien des problématiques de notre société qui sont soulevées. Que ce soit l’esclavage, la supériorité, le pouvoir, la nutrition, l’individualisme, la prise de conscience, ou encore la sexualité et l’apparence, tout ces thèmes sont bien présents dans notre réalité.

Quant aux dessins, franchement Yui Hata nous offre ici une merveille. Le trait est fin, appuyé juste là où il le faut, les expressions sont d’une réalité bluffante et magnifique. Tout, je dis bien tout, est absolument fabuleux dans cette trilogie. Je ne sais pas ce que vous faites encore ici à me lire, je vous conseille de filer tout droit sur un site de vente, ou dans votre librairie, ou encore dans un centre commercial qui vend des mangas, et de vous procurer ces trois tomes d’une beauté sans pareil à tout niveaux.

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Brigitte Alouqua le 06 12 2019 14:18

Dans ce second opus, Yaichi prend petit à petit conscience que lui aussi avait énormément de préjugés. Mais il commence doucement à voir Mike autrement que comme un gay, il voit l’homme, celui qui aimait son frère, qui est d’une serviabilité touchante.

Dans cet opus, il va se retrouver confronter à beaucoup de choses, notamment à l’homophobie, au fait que pour les personnes comme son frère, comme Mike, peuvent se sentir très mal lorsque vient le moment de faire son coming-out. Il faut se confronter à beaucoup de choses à ce moment-là, et Yaichi comprend qu’il n’a pas agi de la bonne manière, que ce soit avec son freère ou avec Mike lorsque celui-ci a débarquer.

Mais ici, il n’y a pas que la problématique de l’homophobie, il y a la différence en générale. Un exemple parmi d’autres, le fait d’avoir des tatouages. Au Japon, c’est assez mal vu, cela signifie que vous êtes un yakuza et vous ne pouvez pas aller où vous le voulez. Ici, ce sera un homme qui veut aller tout simplement à la piscine et qui se voit refuser l’entrée à cause de ses tatouages. Yaichi est alors confronter à cela, aux questions de Kana qui ne comprend pas pourquoi cette différence semble les classer dans les « méchants ».

Finalement, l’auteur ne pointe pas que l’homosexualité et les difficultés rencontrées par les la communauté LGBT, mais il met le doigt sur la différence en générale. Personnellement, je trouve ça génial de pouvoir retrouver toutes ces problématiques de la société dans un manga qui est à la portée de tous.

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Brigitte Alouqua le 06 12 2019 14:18

Ce premier tome est touchant dans le sens où après la mort de Ryôji, son mari Mike avec qui il vivait au Canada, va débarquer chez son frère jumeau Yaichi au Japon. Lui qui vient de perdre son mari, va se retrouver face à ce frère qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Si ce n’est pas simple pour lui, imaginez ce que cela doit être pour Yaichi qui voit débarquer chez lui cet homme dont il ne connaît absolument rien !

Cette quadrilogie est classée dans les yaoi, mais pour moi elle n’est absolument pas classable dans cette catégorie. Il n’y a pas de romance, et je ne pense pas que cela se passera dans la suite. Nous sommes plutôt dans une belle histoire de famille, d’apprentissage, dans le choc que fera l’arrivée de Mike un canadien gay au Japon ou l’homophobie est bien présente (comme partout ailleurs d’ailleurs).

J’ai eu un gros crush pour Kana, la fille de Yaichi. Avec l’innocence d’une enfant, elle va arriver comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, elle va tout bousculer, va poser énormément de questions. Finalement, elle va remettre petit à petit les idées de son père en place en soulevant la problématique sans en avoir conscience. Elle pose simplement des questions logiques pour réussir à comprendre elle-même la situation, mais cela servira aussi à son père, il va prendre conscience de beaucoup de choses.

Je n’en suis ici qu’au premier tome, et je vois cette quadrilogie comme un appel à la tolérance, comme un doigt pointé sur les préjugés et l’enfermement de beaucoup de personnes dans les idées reçues. Je ne suis pas spécialement fan du coup de crayon, sauf lorsqu’il est colorisé comme sur la couverture, mais le message passe pourtant très bien.

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Brigitte Alouqua le 29 11 2019 16:35

Plutôt que de vous proposer un avis sur chacun des deux tomes, j’ai choisi de faire un avis global reprenant les deux. Après tout, j’ai lu les deux l’un à la suite de l’autre sans m’arrêter.

J’ai complètement craqué pour cette duologie. Non seulement elle véhicule des messages forts, mais elle transmet des émotions intenses.

Je me suis tellement attachée à Yûji Manase, j’avais tellement mal pour lui. Sa souffrance est si forte, que c’est juste impensable de ne pas avoir envie de le soutenir, de le protéger, de l’aimer, de le chérir comme il aurait bien besoin de l’être. Le coup de crayon rend toutes les émotions encore plus profondes parce que nous le voyons en train de souffrir, et que nous ne pouvons rien y faire.

Manase est un jeune garçon mal dans sa peau depuis longtemps, il n’a pas le bon corps et c’est réellement une souffrance atroce pour lui qui en plus est amoureux de son meilleur ami qui ne s’intéresse qu’aux filles. Il souffre tellement qu’il reste seul la plupart du temps, sans même savoir que d’autres personnes comme lui pourraient l’aider et le soutenir dans ce qu’il traverse, parce que non, il n’est pas le seul à ressentir ça.

Mais il n’y a pas que le thème des transgenres qui est abordé ici, il y a également la problématique des mariages arrangés, ou encore celui de ne pas savoir où est notre place dans ce monde. Chacun de ces thèmes est traité avec justesse et sensibilité, ils mettent ces problématiques bien en avant.

Les mariages arrangés sont encore d’actualité, et même si je suis d’accord que cela fait partie de certaines cultures, je ne trouve pas normal de décider qui épousera qui, juste par intérêt. Quant à savoir quelle est notre place dans ce monde, je pense que de nombreuses personnes se posent cette question, mais est-ce une question qui peut réellement trouver une réponse ? Personnellement, je pense que notre place, nous la créons nous-mêmes avec notre personnalité et nos objectifs.

Au final, deux tomes pour des thèmes de ce genre, c’est peu, cependant, si nous devons les approfondir, il faudrait une saga très longue. Je trouve que l’auteur c’est très bien débrouillé pour en faire un condensé en deux tomes. Même si c’est vrai que cela ne m’aurait pas dérangée qu’il y ai plus de tomes, eh bien je sors de cette lecture complètement retournée et les larmes aux yeux.

À découvrir de toute urgence, si ce n’est pas déjà fait.

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Brigitte Alouqua le 29 11 2019 16:35

Plutôt que de vous proposer un avis sur chacun des deux tomes, j’ai choisi de faire un avis global reprenant les deux. Après tout, j’ai lu les deux l’un à la suite de l’autre sans m’arrêter.

J’ai complètement craqué pour cette duologie. Non seulement elle véhicule des messages forts, mais elle transmet des émotions intenses.

Je me suis tellement attachée à Yûji Manase, j’avais tellement mal pour lui. Sa souffrance est si forte, que c’est juste impensable de ne pas avoir envie de le soutenir, de le protéger, de l’aimer, de le chérir comme il aurait bien besoin de l’être. Le coup de crayon rend toutes les émotions encore plus profondes parce que nous le voyons en train de souffrir, et que nous ne pouvons rien y faire.

Manase est un jeune garçon mal dans sa peau depuis longtemps, il n’a pas le bon corps et c’est réellement une souffrance atroce pour lui qui en plus est amoureux de son meilleur ami qui ne s’intéresse qu’aux filles. Il souffre tellement qu’il reste seul la plupart du temps, sans même savoir que d’autres personnes comme lui pourraient l’aider et le soutenir dans ce qu’il traverse, parce que non, il n’est pas le seul à ressentir ça.

Mais il n’y a pas que le thème des transgenres qui est abordé ici, il y a également la problématique des mariages arrangés, ou encore celui de ne pas savoir où est notre place dans ce monde. Chacun de ces thèmes est traité avec justesse et sensibilité, ils mettent ces problématiques bien en avant.

Les mariages arrangés sont encore d’actualité, et même si je suis d’accord que cela fait partie de certaines cultures, je ne trouve pas normal de décider qui épousera qui, juste par intérêt. Quant à savoir quelle est notre place dans ce monde, je pense que de nombreuses personnes se posent cette question, mais est-ce une question qui peut réellement trouver une réponse ? Personnellement, je pense que notre place, nous la créons nous-mêmes avec notre personnalité et nos objectifs.

Au final, deux tomes pour des thèmes de ce genre, c’est peu, cependant, si nous devons les approfondir, il faudrait une saga très longue. Je trouve que l’auteur c’est très bien débrouillé pour en faire un condensé en deux tomes. Même si c’est vrai que cela ne m’aurait pas dérangée qu’il y ai plus de tomes, eh bien je sors de cette lecture complètement retournée et les larmes aux yeux.

À découvrir de toute urgence, si ce n’est pas déjà fait.

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Brigitte Alouqua le 22 11 2019 13:36

Ce titre, je l’avais repéré depuis un bon moment, son résumé me tentait un peu trop pour que je n’aie pas envie de le lire. Il faut savoir que, comme pour mes autres lectures, je lis un peu de tout aussi lorsqu’il s’agit de manga, mais que le yaoi a malgré tout ma préférence. Bien que ce soit du MM version manga, je trouve que le fait d’avoir les images en support donne une tout autre sensibilité et encore plus d’impact. Je vous parlerai donc plus souvent de manga de style Yaoi, bien que je ne lise pas que ce genre.

Ce premier tome donc, pose les bases de la suite. Je trouve que ce premier tome est assez ambigu dans le fait que finalement ce n’est pas réellement un yaoi vu que Yashiro n’est plus réellement un garçon après son passage chez le Dieu, il revient en fille. C’est son choix, après tout, après avoir déclaré ses sentiments à Kenta qui ne peut donner suite car il est attiré par les filles, il se prendra malheureusement un camion et mourra. De là, il va donc se retrouver face à un Dieu qui s’ennuie et qui pour une raison un peu floue va vouloir l’aider en le renvoyant sur terre sous la forme qu’il désire. Yashiro, qui veut absolument plaire à son ami va demander à devenir une fille, le genre de fille avec laquelle Kenta ne pourra que craquer.

Heureusement pour lui, il ne sera épaulé par le Dieu qui ne le laisse pas en plan, et croyez-moi qu’il a bien besoin d’aide, ou plutôt elle a besoin d’aide. Yashiro est donc devenu Kagura, mais le problème qui se pose, c’est qu’il a gardé le comportement d’un garçon, il va devoir s’acclimater, trouver ses marques pour ne pas que son ami (ni personne d’autre d’ailleurs) sache qui est la jeune fille qui se présente à l’école en tant que nouvelle élève.

Ce premier tome est touchant et bourré d’humour, je suis franchement curieuse de découvrir la suite. Les dessins sont très beaux et le style est épuré, ce qui donne un rendu superbe. Vu la tournure des événements, je me demande si finalement, de yaoi on ne va pas se diriger vers du yuri, mais je ne le découvrirai qu’en lisant la suite.

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Brigitte Alouqua le 05 07 2018 13:48

Depuis un petit moment maintenant, et grâce à un de mes fils qui adore ce genre de lecture, j’ai commencé à m’intéresser aux mangas, au départ, plus par curiosité, pour voir ce qu’il aimait avec ce genre de lecture. Après en avoir lu quelques uns de ses livres, j’avais envie de me lancer moi aussi, peut-être pas au même rythme que lui, mais j’étais une adepte des BD en étant jeune donc le manga me tentait depuis quelques années, il fallait juste que je me décide à me lancer.
Tout comme pour mes autres lectures, j’aime lorsque les héros ou héroïnes sortent du lot, que les personnages ne soient pas sortis d’un moule et qu’ils ne ressemblent pas aux autres. De ceux que j’ai déjà pu découvrir avec mon fils, je peux vous certifier que Kayo est totalement différente, déjà elle a un sacré foutu caractère, faut surtout pas l’emmerder si vous tenez à vos dents !
Lorsque Myu l’a choisie comme Magical Girl, il ne se doutait pas de la suite, ni du satané caractère de son élue. On peut dire sans hésiter qu’elle envoie du lourd, elle est adepte des jeux vidéos de combat où elle est imbattable, elle fume comme un pompier et ne soyez pas sur son chemin quand elle ressent l’envie de se griller une clope, vous risqueriez de le regretter pendant longtemps. A partir du moment où Myu a fait son apparition dans sa vie, celle-ci a radicalement changé, elle est sans cesse assaillie par les stremons, qui eux sont attirés par son énergie négative.
Kayo va t’elle devenir la cible favorite des stremons ? Vu son caractère, je n’en doutes pas, mais si elle avait été différente, je ne pense pas que je l’aurais autant appréciée, moi j’aime les personnages différents, alors elle est pile dans le genre que j’aime. Avec ce premier tome, nous faisons donc sa connaissance, quant à elle, eh bien elle fait connaissance avec Myu qui l’a désignée comme Magical Girl, elle va devoir apprendre à maîtriser ses nouvelles compétences, même si elle se débrouille déjà bien sans, cela va lui prendre un moment pour les maîtriser parce que Kayo n’est pas du genre à écouter ce qu’on lui dit, alors Myu et ses explications … Fait ensuite son apparition, Rei, un jeune homme d’apparence charmante, qui lorsqu’il a vu la jeune fille en action, a voulu devenir son chevalier servant, ou son esclave en quelque sorte. Je n’ai pas forcément eu une bonne première impression sur lui, peut-être que je me trompe, mais il me donne plutôt l’impression de cacher quelque chose, de cacher celui qu’il est réellement.
Une chose est certaine, impossible de s’ennuyer avec ce premier tome, le rythme est hyper soutenu jusqu’à la fin. J’espère malgré tout que Kayo aura quelques moments de répits, bien qu’elle soit toujours en quête d’action, il arrive un moment où le corps ne suit plus. Mais je ne doutes pas d’elle, elle a une volonté de fer et son caractère lui donnera la force nécessaire pour venir à bout de tout les obstacles qui se dresseront devant elle. Alors que je termine le premier tome, je n’ai qu’une envie, pouvoir me plonger dans la suite. Si vous chercher une héroïne manga qui sort du lot, ne cherchez pas plus loin, il faut que vous fassiez connaissance avec Kayo, elle devrait vous plaire.

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